Et le visage blanc, parfaitement immobile, transcendé d'Arthur Rubinstein, jouant mais dont on ne voit pas les mains. (qu'il avait, par ailleurs plutôt petites !).
Impossible de ne pas penser qu'il était Juif et que, pour un peu il aurait fini en ce lieu dont on n'ose même plus prononcer le nom.
Une occasion enfin, même pour quelqu'un qui croyait aimer Chopin, de découvrir la profondeur, la force de sa musique.
Vive l'année Chopin.
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